Cette ville est un oasis au milieu d'un désert, situé dans une des régions les plus arides d'Amérique du Sud (environ 200 mm de pluie par an et des températures environnant les 30 degrés toute l'année) et néanmoins, la ville regorge de végétations. La ville s’offre même le luxe de faire venir des arbres du monde entier. D’ailleurs les locaux vous le diront : pas un arbre planté n’est originaire de Mendoza.
LA TECHNIQUE "SIMPLE" DE L'IRRIGATION
En effet, pour s'assurer davoir de l'ombre et des espaces de verdure, la ville s'est basée sur des principes de construction des anciennes civilisations en détournant l'eau qui descend des glaciers de la Cordillère des Andes pour créer des canaux qui sillonnent les différentes rues de la ville, malin non?
Grâce à cette technique la ville est constamment irriguée. Les arbres fournissent de l’ombre et rendent les espaces plus vivables et moins chauds pour les habitants et les touristes (comme moi) qui y séjourne.
Qui a dit qu’on ne pouvait pas avoir de forêts partout ?
S'INSPIRER DE CE QUI MARCHE !
Je pense qu’en Europe ou tout du moins en France, on a beaucoup à apprendre de l’irrigation.
C’est une technique ancestrale qui n’est pas si compliquée à mettre en place à notre époque.
Alors bien sûr, ce n’est pas une nécessité comme pour le cas de Mendoza. Mais tout de même, il y a quelque chose à prendre de ce côté là, dans un premier temps pour optimiser l’eau de pluie. Le ruissèlement entraîne l’érosion des sols dans certaines cas.
Contrôler ou stocker l’eau pourrait servir à diminuer l’arrosage par exemple.
Beaucoup de personnes vivantes dans l’hémisphère sud sont étonnées que nous européens ne possédons pas de système de récupération de l’eau de pluie.
Sans tomber dans l’extrême, c’est pour moi essentiel de développer cet aspect !
Clément L.
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